jeudi 12 janvier 2012
Jactons l'argomuche, ma gisquette
C'est bien de jacter, c'est encore mieux d'ouvrir le robico de l'argot, en frangins.
Du miston au déchetoque, autant débobiner en père peinard sans fuite, tant pis pour ceux qu'ont de la gélatine dans la terrine.
Sans charres, c'est que c'est aussi bonnard dans le clapoir que dans les esgourdes, une autre façon de dégoiser quoi, et pas question de s'écraser devant les pleureuses.
Se foutre une peignée rien qu'avec la margoule, c'est quand même mieux que s'emmouscailler à parler comme un moujingue à mornifle.
Déjà que tous les baveux, les faf à train qu'on ligote sont sacrément barbifiants, on va pas non plus moufter comme les calotins... que pouic!
Alors du burlingue à la bicoque, en passant par le troquet ou le gastos, avec ses camerluches ou sa ponette, on tartine l'argomuche à toute berzingue pour se poirer, avec un kilbus de rouquin pour se lustrer la torchette entre deux gorgeons.
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